Les digital workplaces, une promesse trop belle ?

Les digital workplaces, une arme à double tranchant. En effet il n’y a pas que des points positifs à cette évolution de l’environnement de travail.

Les digital workplaces, au cœur de la transformation de l’expérience collaborateur

Tout d’abord qu’est ce qu’une digital workplace ? Une digital workplace, c’est un environnement de travail qui regroupe les personnes, les outils ainsi que l’organisation. Ce mélange est une mise en cohérence des technologies de travail. On assiste en quelques sortes à une dématérialisation de l’environnement de travail.

Une accélération du marché et une mutation de l’environnement de travail

Les entreprises qui ont sauté le pas vers cette évolution de l’environnement de travail nouvelle génération ont eu des retours positifs.

En effet, ils ont constaté une augmentation de la satisfaction des collaborateurs et par la même occasion de leur productivité. De plus ces entreprises utilisatrices des digital workplaces augmentent leur capital attractif auprès des talents et leur agilité dans le pilotage de projet.

Cette évolution des environnements de travail permet aussi aux entreprises de centraliser leurs informations. Elle permet également plus de transversalité en faisant circuler les informations plus facilement (e-mail, messagerie instantanée, médias sociaux, applications de gestion des ressources humaines, outils de réunions virtuelles et bien d’autres). Enfin elle transforme indéniablement l’expérience collaborateur pour favoriser l’efficacité et l’innovation collaborative. Ce qu’il ne faut pas négliger dans un marché qui demande toujours plus d’efficacité en toujours moins de temps.

Le revers de la médaille

Un marché de plus en plus complexe et de plus en plus rapide en terme d’évolution. Effectivement, les organisations investissent dans des digital workplaces pour rester dans le rythme effréné d’évolutions qu’impose le marché. Cela impose une rigueur et un système infaillible et, comme nous le savons tous dans toute évolution il subsiste des problèmes incompressibles.

Parmi ceux là, on retrouve les problèmes techniques qui peuvent intervenir. Selon une étude de Gardner State, la facture d’une indisponibilité peut être vite salée si l’entreprise concernée n’y est pas préparée.

Le problème d’avoir un système totalement centralisé améliore certes, les performances mais augmente également les chances de dépendre d’aléas techniques en un nombre toujours plus réduit de nœuds. Cela impose des coûts plus importants pour anticiper et prévenir ses aléas. On peut alors parler de manque de maturité de ces environnements de travail.

Des solutions ?

Parmi les solutions viables, la gestion du end-user experience. Pour se caler sur la demande de ces digital workplaces, les entreprises ont besoin de mesurer l’expérience de vrais utilisateurs. Nous pouvons mesurer la performance, les habitudes (usages), la disponibilité ainsi que la stabilité. En effet la disponibilité par exemple, est une donnée critique qu’il faut surveiller avec insistance.

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